Les grands arbres, en revanche, continuaient d'appartenir au propriétaire (ibid., p. xviii). Le domanier ne pouvait en disposer, et risquait d'être à court de bois, alors qu'il en avait besoin pour les constructions nouvelles, pour la réparation et l'entretien des bâtiments, pour la fabrication et le remplacement de ses outils et de …
