Imaginons une autre voie. La France choisirait la rupture d'avec la Finance (laquelle ?) et l'austérité. Déroulons le raisonnement, faisons un peu de politique-fiction. Dans cette hypothèse, que nous imaginons pro-mélenchoniste, le gouvernement préférerait une large relance, financée par l'emprunt et l'impôt. Le nerf de la guerre, c'est l'argent.
